Au nom du groupe Villeurbanne insoumis, qui compte six adjoints au sein de la majorité, Danielle Carasco a déclaré : « Nous le répétons, les caméras ne font que déplacer les problèmes […] Le trafic de stupéfiants est un problème économique et social, les personnes mal stationnées, c’est un problème social et de mobilité. » La conseillère municipale a conclu : « Nous sommes favorables à la stratégie mais nous votons contre la demande de financement pour la vidéosurveillance ».