Julien Ravello
Sensible depuis très longtemps aux enjeux écologiques et climatiques, Julien Ravello travaille depuis plus de 10 ans à la réduction des impacts sur l’environnement des communes et des entreprises.
Se qualifiant d’anticapitaliste, antiraciste, combattant des idées d’extrême-droite et militant écosocialiste, Julien s’intéresse aux questions de société et de politique depuis près de 20 ans, mais n’avait jamais franchi le pas du militantisme, ne réussissant pas à trouver un programme qui répondait complétement à ses idées… jusqu’en 2016.
C’est avec l’Avenir En Commun, le programme national articulant démocratie, justice sociale et écologie qu’il commence son parcours militant.
Il s’est dès lors engagé pendant les présidentielles de 2017. Ses motivations ? Un profond changement démocratique avec la 6ème République, la lutte contre les inégalités, les injustices, et la mise au cœur des politiques publiques des enjeux écologique et climatique.
Il a fait le choix d’être candidat pour les élections législatives de 2017 en tant que suppléant pour promouvoir les idées de l’Avenir en Commun auprès d’une majorité de gens, et car il estimait qu’elles étaient l’une des dernières chances de répondre aux urgences actuelles.
Après avoir déménagé à Villeurbanne, son engagement s’est poursuivi en intégrant un collectif local dynamique et en commençant à travailler sur le programme de Villeurbanne En Commun. Il a décidé de s’engager sur la liste après avoir beaucoup travaillé sur le programme commun qui lui semblait correspondre largement à ses idées et valeurs, en particulier sur les propositions de transition démocratique.
Il est aujourd’hui élu à la mairie en tant que conseiller municipal délégué aux circuits courts et à l’économie sociale et solidaire. Il est aussi le président du groupe Villeurbanne Insoumise Ensemble !.
« Je suis engagé car je crois encore que la politique peut changer la vie des gens. Pour moi, la politique, c’est s’intéresser à la vie de la cité, et j’ai envie de montrer aux personnes qui en sont dégoutées qu’un autre chemin est possible, qu’il n’y a pas de fatalité. »